Journées à Paris 2023-2024

Jeudi 19 octobre 2023

Journée à Paris , départ 07h00

Matin 11h et 11h45
« MUSEE BOURDELLE »
C’est en 1885 qu’Antoine Bourdelle, le célèbre sculpteur français, prend ses quartiers au 16 de l’impasse du Maine. Il laisse derrière lui un atelier-musée niché dans le XVe arrondissement, à deux pas du quartier Montparnasse.
Conformément à la volonté de l’artiste, on y retrouve ses collections à demeure, dans les ateliers où il a travaillé et vécu. Cela fait du Musée Bourdelle un endroit chargé d’histoire et d’authenticité qui nous permet de plonger dans l’intimité de ce sculpteur visionnaire.
Le musée complètement repensé et rénové a ouvert ses portes au printemps 2023… un havre de paix au cœur de Montparnasse. Nous déjeunerons au sein de ce musée dans le restaurant « Le Rhodia » nommé ainsi en souvenir de la fille de l’artiste, et installé dans les anciens appartements de la famille

Après-midi :
Visite du « QUARTIER DE SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS » en compagnie de Frédéric Dronne.

Des églises Saint-Germain-des-Prés et Saint-Sulpice au palais du Luxembourg, le quartier St Germain témoigne de l’histoire religieuse de la capitale mais aussi de l’évolution de la ville et de son architecture. Entre la grande histoire, c’est ici que s’est déroulée la journée des dupes qui aboutira à l’exil de Marie de Médicis, et les légendes parisiennes… Une promenade dans l’histoire de la capitale.





Dimanche 19 novembre 2023

Journée spectacles à Paris , Attention : départ 08h00

Opéra Bastille : « TURANDOT de Giacomo PUCCINI » à 14h30
Turandot est un opéra en trois actes et cinq tableaux de Giacomo Puccini, sur un livret de Giuseppe Adami et Renato Simoni d’après Carlo Gozzi, créé le 25 avril 1926 à la Scala de Milan sous la direction de Toscanini.
À Pékin, une princesse renommée pour sa beauté soumet ses prétendants à trois énigmes. Le prince qui saura les résoudre obtiendra sa main et le trône. Hélas ! Jusqu’à présent, tous ont échoué et ont subi la sentence implacable : la mort. Le jeune Calaf réussira-t-il ? Inspiré par une fable de Carlo Gozzi puisant lui-même à plusieurs sources dont les Mille et une nuits, l’ultime opéra de Puccini renoue avec une atmosphère orientale, déjà présente dans Madame Butterfly. Mais en 1924, année où le compositeur meurt en laissant sa partition inachevée, son écriture a gagné en modernité, sans rien perdre de son invention mélodique, comme en témoigne le célèbre air « Nessun dorma ».

Les références à l’Asie ne pouvaient que séduire Robert Wilson dont l’esthétique emprunte au théâtre nô. Sa mise en scène épurée, traversée de touches de commedia dell’arte offre des images saisissantes et hypnotiques...

Distribution ( pour cette matinée) :
Tamara Wilson, Gregory Kund dans les rôles principaux
Orchestre et chœur de l’Orchestre national de Paris, maîtrise des Hauts de Seine, chœur d’enfants de l’Orchestre national de Paris.

« Comme à l’accoutumée Robert Wilson signe un spectacle d’une beauté saisissante (les Echos) »

Tarif et disponibilités : merci de nous consulter.

Comme nous l’avons fait ces dernières saisons, pour répondre aux goût de chacun et aussi pour diminuer le coût du déplacement, cette saison encore nous vous proposons une pièce de théâtre :

Théâtre Edouard VII : « LAPIN » à 15h00

« Tous les lundis, soir de relâche, Muriel Robin se rend chez Pierre Arditi pour passer la soirée avec lui. Comme tous les lundis, ils partagent un diner et profitent de leur amitié.
Mais ce soir, pour la première fois, ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls... »

Tarif et disponibilités : merci de nous consulter.




Jeudi 23 novembre 2023

Journée à Paris , départ 07h00

Visite de l’OPERA GARNIER

Matin 11h45
Le 14 janvier 1858, Napoléon III est visé par un attentat, rue Le Peletier où se situe la salle d’opéra Le Peletier. Des républicains italiens, dirigés par Felice Orsini, jettent plusieurs « machines infernales » dans le cortège et la foule qui l’entoure mais le couple impérial est miraculeusement épargné, malgré huit morts et près de cent quarante-deux blessés. La construction d’une nouvelle salle dans une grande rue moins propice aux attentats est décidée par l’empereur, au lendemain même du drame, pour la construction d’un nouveau grand théâtre digne de Paris. Le projet est déclaré d’utilité publique par arrêté impérial du 29 septembre 1860 . Pour certains historiens, Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc semble à l’origine de l’idée d’un concours, craignant l’attribution du projet et la direction du chantier à Charles Rohault de Fleury, architecte ordinaire de l’Opéra et donc logiquement destiné à réaliser cette nouvelle commande. Selon l’avis d’autres spécialistes, ce sont Napoléon III et surtout son épouse, l’impératrice Eugénie, qui souhaitent écarter Rohault de Fleury pour favoriser Viollet-le-Duc.
Toujours est-il que le concours, pour l’édification d’une « Académie impériale de musique et de danse » attendue depuis cinquante ans, est organisé et annoncé dans un second arrêté du 29 décembre de la même année 1860. L’usage voulait que l’on fasse appel à un architecte désigné. Le préfet de Paris, Haussmann, en urbaniste intransigeant, propose une parcelle exigüe et mal adaptée à ce projet. L’événement est tel que les Parisiens et la province suivent le déroulement de la compétition et attendent impatiemment le résultat….

Et c’est Charles Garnier qui l’emportera.. Charles Garnier (1825–1898) est premier grand prix de Rome en 1848. C’est toutefois un jeune architecte n’ayant pas encore fait véritablement ses preuves sur un projet de grande envergure. Ambitieux et secondé de confrères et nombreux amis de l’École des Beaux-Arts, pour partie d’entre eux qui sont également lauréats de la même distinction, il remet un projet innovant dont les châssis portent le numéro 38 et une devise — les projets devant rester anonymes — qui résume assez bien le caractère de son auteur : « J’aspire à beau-coup, j’attends peu » …

Déjeuner libre.

Après-midi
« NAPLES A PARIS : QUAND LE MUSÉE DU LOUVRE INVITE LE MUSÉE DE CAPODIMONTE »

Ancienne résidence de chasse des souverains Bourbon, le palais (la Reggia en italien) abrite aujourd’hui l’un des plus grands musées d’Italie et l’une des plus importantes pinacothèques d’Europe, tant par le nombre que par la qualité exceptionnelle des œuvres conservées. Capodimonte est l’un des seuls musées de la péninsule dont les collections permettent de présenter l’ensemble des écoles de la peinture italienne. Il abrite également le deuxième cabinet de dessins d’Italie après celui des Offices ainsi qu’un ensemble remarquable de porcelaines. Plus de soixante-dix des plus grands chefs-d’oeuvre du musée napolitain sont exposés dans trois lieux différents du Louvre : dans la prestigieuse Grande Galerie se nouera un dialogue spectaculaire entre deux collections de peintures italiennes parmi les plus importantes au monde ; dans la salle de la Chapelle sont racontées et mises en lumière les origines et la diversité des collections de Capodimonte réunies essentiellement par les Farnèse et les Bourbons ; enfin, dans la salle de l’Horloge sont exposés les quatre chefs-d’oeuvre du dessin de l’ancienne collection Farnèse : un carton autographe par Michel-Ange, un par Raphaël ainsi que deux autres par des collaborateurs en regard de ceux de Raphaël ou de ses élèves conservés au Louvre.




Jeudi 18 janvier 2024

Journée à Paris, départ 07h00

Musée d’Art Moderne de Paris : « NICOLAS DE STAEL »

Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre une grande rétrospective à Nicolas de Staël (1914-1955), figure incontournable de la scène artistique française d’après-guerre. Vingt ans après celle organisée par le Centre Pompidou en 2003, l’exposition propose un nouveau regard sur le travail de l’artiste, en tirant parti d’expositions thématiques plus récentes ayant mis en lumière certains aspects méconnus de sa carrière (Antibes en 2014, Le Havre en 2014, Aix-en-Provence en 2018).
La rétrospective rassemble une sélection d’environ 200 tableaux, dessins, gravures et carnets venus de nombreuses collections publiques et privées, en Europe et aux Etats-Unis. À côté de chefs-d’oeuvre emblématiques tels que le Parc des Princes, elle présente un ensemble important d’œuvres rarement, sinon jamais, exposées, dont une cinquantaine montrées pour la première fois dans un musée français.

Musée Marmottan : Exposition BERTHE MORISOT ET L’ART DU XVIIIe siècle, WATTEAU, BOUCHER, FRAGONARD, PERRONNEAU

Le musée Marmottan Monet présente du 18 octobre 2023 au 3 mars 2024 une exposition inédite : « Berthe Morisot et l’art du XVIIIe siècle ».
Soixante-cinq œuvres provenant de musées français et étrangers ainsi que de collections particulières sont réunies pour la première fois afin de mettre en lumière les liens qui unissent l’œuvre de la première femme impressionniste, Berthe Morisot (1841-1895) à l’art d’Antoine Watteau (1684-1721), François Boucher (1703-1770), Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) ou encore Jean-Baptiste Perronneau (1715-1783).




Jeudi 15 février 2024

Journée à Paris, départ 07h00

Matin : Visite de L’ HOTEL DE SOUBISE
Le musée des Archives nationales, créé en 1867 aux Archives nationales, expose au public des documents d’archives conservés par l’institution. Il est également connu sous le nom de musée de l’Histoire de France de 1939 à 2006.
Déjeuner libre.
Après-midi : MUSEE CARNAVALET
Visite de l’exposition « LA RÉGENCE A PARIS (1715-1723), l’AUBE DES LUMIERES »
Période oubliée de l’Histoire « La Régence »
A la mort de Louis XIV en 1715, le jeune dauphin, le futur Louis XV est trop jeune pour régner. Ce sera donc le duc Philippe d’Orléans, neveu du roi défunt qui va prendre la régence du royaume.
Dès lors, la cour, le pouvoir, et toutes les administrations quittent Versailles pour se réinstaller à Paris….Sous la Régence naît une liberté nouvelle et c’est ce qu’on appellera « le Siècle des Lumières »
Plus de 200 oeuvres exposées permettent de se ren-dre compte des mutations de la société qui vont alors s’opérer.




Dimanche 10 mars 2024

départ 09h30

A la Philharmonie de Paris, 16h :
LONDON SYMPHONY ORCHESTRA Direction Sir Simon RATTLE

Violon : Isabelle FAUST
Johannes Brahms : Concerto pour violon
Dmitri Chostakovitch : Symphonie N° 4

Prix comprenant concert, déjeuner au café de la Musique, car : 160 €

Nous vous proposons également ce même jour une matinée théâtrale.

THEATRE FONTAINE, 16h :
« BERLIN , BERLIN »
Comédie de Patrick Haudecoeur et Gérald Sibleyras
Berlin est, Emma et Ludwig veulent s’enfuir et passer à l’est…
Le comédie qui fait tomber les murs !
Molière de la meilleure comédie et Molière du meilleur comédien en 2022

Mise en scène José Paul
Avec Patrick Haudecœur, Loïc Legendre, Lysiane Meis, Caroline Maillard, Pierre-Olivier Mornas, Michel Lerousseau, Raïssa Mariotti, Guilhem Pellegrin, Claude Guyonnet, Gino Lazzerini
Décor Édouard Laug Costumes Juliette Chanaud Lumière Laurent Béal Musique Michel Winogradoff Assistant mise en scène Guillaume Rubeaud Vidéo Sébastien Mizermont Accessoires Betty Lemoine

Prix comprenant Théâtre, déjeuner au café de la Musique , car : 140 €



Jeudi 28 mars 2024

Journée à Paris, départ 07h00

Matin : FONDATION VUITTON
Visite de l’exposition « Mark ROTHKO » (Dvinks 1903 – New York 1970)
Né Markuss Rothcovics en 1903 dans l’Empire russe, il est le benjamin d’une famille juive de 4 enfants, son père ne veut pas que ses enfants soient embrigadés de force dans l’armée impériale russe. Il émigre aux Etats Unis et fait venir ses enfants en 1913. Après de brillantes études il devient professeur de dessin en 1929. Il adopte la nationalité américaine en 1938 et deux ans plus tard il va transformer son patronyme en Rothko. C’est dans les années 1950 que sa carrière va véritablement démarrer grâce au collectionneur Duncan Phillips qui lui achètera plusieurs tableaux et lui consacre-ra une salle entière de sa collection.

Quelques années plus tard, après la période des grandes commandes pour des établissements prestigieux, une rupture d’anévrisme va interrompre sa carrière…
Il se suicidera en 1970 à New-York.
L’exposition présente plus d’un centaine d’œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles, et de collections privées internationales dont celles de la famille de l’artiste.
Déjeuner en commun inclus.
Après-midi :
« CATHÉDRALE SAINT-ALEXANDRE-NEVSKI »
La présence russe en France date du XVIIème siècle. Environ un millier de Russes résident de façon temporaire ou permanente à Paris. Ils ne disposent pas de lieu de culte.. En 1847 c’est l’aumônier de l’ambassade de Russie, le père Joseph Vassilev qui va initier le projet de cette construction. Après de nombreuses lenteurs administratives qui retardent le projet, Napoléon III finit par donner son accord. La cathédrale est consacrée en 1861, elle est ainsi le premier lieu de culte permanent pour la communauté russe orthodoxe à Paris.




Mardi 09 avril 2024

Journée à Paris, départ 07h00

Matin : MUSEE DU PETIT PALAIS « LE PARIS DE LA MODERNITÉ, 1905-1925 »
De la Belle Époque jusqu’aux années folles, Paris continue plus que jamais d’attirer les artistes du monde entier. La Ville-Monde est à la fois une capitale au cœur de l’innovation et le foyer d’un formidable rayonnement culturel. Le parcours présente près de 400 œuvres de Robert Delaunay, Sonia Delaunay, Marcel Duchamp, Marie Laurencin, Fernand Léger, Tamara de Lempicka, Amedeo Modigliani, Chana Orloff, Pablo Picasso, Marie Vassilieff et tant d’autres. L’exposition montre également des tenues de Paul Poiret, de Jeanne Lanvin, des bijoux de la maison Cartier, un avion du musée de l’Air et de l’Espace du Bourget et même une voiture prêtée par le musée national de l’automobile à Mulhouse. À travers la mode, le cinéma, la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin, mais aussi la danse, le design, l’architecture et l’industrie, l’exposition donne à vivre et à voir la folle créativité de ces années 1905-1925.

Déjeuner libre.

Après-midi : MUSEE DE CLUNY « LES ARTS AU TEMPS DE CHARLES VII, 1422-1461 »
Le musée de Cluny met en lumière un moment charnière de l’histoire et de l’histoire de l’art, celui du règne de Charles VII . Chassé de Paris, réfugié à Bourges, le dauphin Charles réussit à reconquérir son trône, puis son royaume occupé par les Anglais. Ce règne qui s’inscrit dans une période troublée porte en germe l’extraordinaire renouveau artistique de la fin du 15e siècle. L’exposition entend montrer toute la diversité de la production artistique pendant le règne de Charles VII. Elle rassemble de prestigieux manuscrits enluminés, peintures, sculptures, pièces d’orfèvrerie, vitraux et tapisseries. Des œuvres exceptionnelles y figurent, comme le dais de Charles VII (tapisserie, musée du Louvre), le manuscrit des Grandes Heures de Rohan (BNF), le tableau de l’Annonciation d’Aix (Aix-en-Provence) par Barthélémy d’Eyck, peintre du duc René d’Anjou qui enlumine son Livre des tournois (BNF) ou le gisant d’albâtre. d’Agnès Sorel (Ville de Loches).




Jeudi 23 mai 2024

« UNE JOURNEE A GIVERNY » Départ 05h45

Claude Monet a vécu dans sa demeure de Giverny pendant quarante trois ans, de 1883 à 1926. Cette période de temps très longue lui a permis d’agencer la maison à son goût, tout en l’adaptant aux besoins de sa vie familiale et professionnelle. Au départ, la demeure appelée maison du Pressoir (un pressoir à pommes situé sur la placette voisine a donné son nom au quartier) est de dimensions plus réduites. Monet va l’agrandir de chaque côté, pour en faire une longère de 40 mètres de long sur seulement 5 mètres de large. La grange adossée à la maison devient son premier atelier, grâce à la pose d’un plancher et à l’installation d’un escalier vers la maison principale. Monet, qui peint surtout en plein air, a besoin d’un endroit pour entreposer ses toiles et pour effectuer les retouches (…)

Déroulement de la journée :
5h45 : Départ de Bourges
10h : Arrivée à GIVERNY
10h à 11h45 : Visite libre et visite conférence à la suite de l’exposition « les impressionnistes et la mer »
12h : Déjeuner dans un restaurant proche
14h/16h30 : Visite libre de la Maison de Monet et des jardins
17h au plus tard : retour vers Bourges
57 personnes maximun
Tarif : 105 € TOUT COMPRIS